INFLUENCES MUSICALES
Mes influences musicales sont multiples. Du classique à la variété française en passant par le jazz, la pop, le rock, la musique électronique, la soul, le rap, le rnb, le blues...
Wolfgang Amadeus Mozart

Toute la tragédie de la vie réunie dans une oeuvre magistrale. De la joie à la douleur, de la mort à la renaissance de l'âme. Mozart m'est apparu comme un rayon de lumière dans l'obscurité, il m'accompagne chaque jour pour bercer mes heures les plus sombres et mes espoirs les plus profonds.
Barbara (Monique Serf)

La longue dame brune !
En réalité, Barbara m'attendait patiemment depuis longtemps car, pour aimer et apprécier la prose de Barbara, il faut plusieurs années de maturation. La première fois que Barbara est arrivée à mes petites oreilles, nous étions avec mes parents dans la voiture en route vers le village de mes arrières grands-parents en Ardèche (Vernoux en Vivarais). Cette chanson "L'Aigle Noir" m'avait retourné sans savoir vraiment pourquoi.
Bien des années plus tard, le poids de la vie jouant son rôle, les expériences heureuses et malheureuses aussi, Barbara réapparue tout logiquement dans mon quotidien. Sa prose, ses mélodies, sa mélancolie, sa tristesse et ses histoires d'amour ne cessent de me bouleverser, de me rendre chafouin mais surtout, de me rendre mélancolique dans le bon sens du terme.
Je pense à ma petite Marie (M.) en écrivant ces quelques lignes. Quand la solitude pointe le bout de son nez, ne m'oublie pas.
Serge Gainsbourg (Lucien Ginsburg)

Serge, en réalité Lucien comme mon grand-père (prénom que je chéris tant), est une étoile filante dans ma vie. Gainsbourg pour les uns, Gainsbarre pour les autres, les deux pour certains (moi), représente à mes yeux l'indépendance et le mot "merde". Un génie fabuleux, parfois incompris mais, par ses excès et son talent, est devenu un mythe (et de la dynamite). Il m'accompagne inconsciemment dans mes différentes péripéties et me rappelle, via "La chanson de Prévert" (1962, année de naissance de ma mère), toute la sensibilité bien cachée de mon père (qui me l'a fait découvrir un soir d'hiver).
Charles Trenet

Le fou chantant m'a chanté à l'oreille,
Un jour, le secret de ses folles comptines
Qui, semblables à nul autre pareil
Déclenchaient en moi d'autres sornettes divines.
Il signifie pour moi cette idée de la France
Qui, bien loin des lentes espérances,
Nous transcende par delà les frontières
Les abîmes, les écumes et les mers